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Barrès Maurice, La grande pitié des églises de France

60,00 

In-12, [4]-III-419 pages. Demi-maroquin fauve – magnifique reliure ouvragée, couvertures jaunes conservées. Exemplaire non rogné. Édition originale. exemplaire N°7050. magnifique état.
Ouvrage orné d’un magnifique ex-libris du vicomte de Noailles

La grande pitié des églises de France, Maurice Barrès
La grande pitié des églises de France, Maurice Barrès

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Description

À partir de 1910, Barrès lance dans une campagne pour les églises de France déplorant l’état de délabrement des lieux de culte en France, qu’il voit comme la conséquence de la loi de séparation de l’Église et de l’État votée en 1905. Il polémique avec Aristide Briand, écrit une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur, lance une pétition signée de 450 artistes, et prononce à la Chambre les trois discours retentissants qui sont recueillis dans ce volume publié en 1914. Cette campagne et Barrès et ses écrits contribuèrent largement au vote de la loi de 1913 sur les monuments historiques, et la création, en juillet 1914, de la Caisse des monuments historiques.

 À partir de 1910, Barrès lance dans une campagne pour les églises de France déplorant l'état de délabrement des lieux de culte en France, qu'il voit comme la conséquence de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat votée en 1905. Il polémique avec Aristide Briand, écrit une lettre ouverte au ministre de l'Intérieur, lance une pétition signée de 450 artistes, et prononce à la Chambre les trois discours retentissants qui sont recueillis dans ce volume publié en 1914. Cette campagne et Barrès et ses écrits contribuèrent largement au vote de la loi de 1913 sur les monuments historiques, et la création, en juillet 1914, de la Caisse des monuments historiques.
À partir de 1910, Barrès lance dans une campagne pour les églises de France déplorant l’état de délabrement des lieux de culte en France, qu’il voit comme la conséquence de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat votée en 1905. Il polémique avec Aristide Briand, écrit une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur, lance une pétition signée de 450 artistes, et prononce à la Chambre les trois discours retentissants qui sont recueillis dans ce volume publié en 1914. Cette campagne et Barrès et ses écrits contribuèrent largement au vote de la loi de 1913 sur les monuments historiques, et la création, en juillet 1914, de la Caisse des monuments historiques.

Informations complémentaires

Poids 0,520 kg
Dimensions 12,5 × 19 × 3 cm